Mes regards d'Oreiller sur moi Vident la nuit comme une pierre tombale ; je n'ai
jamais pensé ce serais si amer pour être seul, ne Pas coucher endormi dans vos cheveux.
Je couche seul dans une maison silencieuse, La lampe de tenture a assombri, Et doucement tendre mes mains pour rassembler dans
le vôtre, Et doucement appuyer ma bouche chaude Vers vous, et m'embrasser, épuisé et faible- Alors soudain je suis éveillé Et
tout autour me la nuit froide grandit calme. L'étoile dans la fenêtre brille clairement- Où est vos cheveux blonds, Où votre
bouche douce ?
Maintenant je bois la douleur dans chaque plaisir Et chaque poison dans chaque vin ; je n'ai jamais su ce
serais si amer pour être seul, Seul, sans vous.
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